Finalement la pluie nous démotive à marcher 1h30 pour aller voir le quartier « chaud » d’Hambourg aujourd’hui et on préfère s’atteler à la recherche d’un garagiste pour réparer notre Robert, avant le grand nord et les villages perdus de Norvège.
Nous commençons donc notre épopée, Guillaume ayant bien cerné la pièce à changer, les prix de vente et le temps de travail nécessaire donc on part confiant pour ne pas se faire trop arnaquer. Le premier nous annonce un prix de 260€ avec réparation pour lundi matin, soit dans quatre jours. Bon, on garde l’info et allons voir plus loin si la concurrence vaut le coût. Nous faisons en tout cinq garagistes dont trois sont complets, jusqu’à même quatre semaines d’attente et un autre qui nous fait poireauter deux heures (tant mieux comme ça on mange dans le camion en attendant les instructions) pour finalement nous proposer une réparation « au black » pour 500€. No way ! « Il nous a pris pour des américains » comme dirait Philippe, le beau-père. Nous recontactons donc le premier et confirmons le rendez-vous pour lundi 8h pétante.
Ça nous laisse donc trois jours pour faire un tour du côté de la mer et peut-être même aller visiter Brême, selon notre timing.
Rendez-vous garagiste lundi et médical mardi sur Hambourg : les choses s’emboîtent plutôt bien, sans perdre trop trop de temps. C’est qu’on a des retrouvailles qui nous attendent sur Copenhague le 3 Mai avec les Mélices et leur troisième compère en création. Trop hâte de les voir et en même temps, ça nous donne une contrainte de calendrier à ne pas louper. On croise les doigts que tout se déroule parfaitement bien.
Une fois tout organisé et le « frigo-placard » plein, nous tirons une ligne (presque) droite vers l’ouest de l’Allemagne et la Mer des Wadden où il est possible d’apercevoir des phoques sur les plages. Il ne nous en faut pas plus pour nous mettre en route. La pluie est toujours avec nous donc on préfère être au sec et manger du kilomètres finalement.
Arrivée sur notre parking dodo du jour un peu avant 18h30 : on touche presque au but. Demain, on mettra nos pieds (ou plus) dans une nouvelle mer !
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