On a choisi de dormir dans un parking sécurisé avec vigile et caméra de surveillance pour 25€ les 24H dans Milan car nous avons lu que les cambriolages sont souvent de mise en ville et on pourra donc laisser Robert (notre camion) en sécurité sans se soucier de lui pour une bonne partie de la journée.
Qui dit ville dit douche en intérieure : on est équipé comme des rois ; et il fait tellement chaud avec le bitume que l’eau est tiède.
Réveil matinal (notre corps commence à se régler avec les bruits du dehors), nous allons prendre un petit-déjeuner sur les bords du canal. On se lance en italien (merci Google Trad) : « Prenderemo due caffè, un succo d’arancia e due croissant ». Guillaume passerait presque pour un local.
Pour la suite de la visite de la ville, nous décidons de laisser Lola au camion où elle pourra se reposer au frais.
Après quelques stations de métro, nous voilà aux pieds de la fameuse cathédrale Duomo. Stupéfiant ! Nous cherchons les gargouilles les plus rigolotes et « Danièl Lapatana » (mascotte occitane de mon travail qui a pris la route avec nous) passe sa première tête pour nous faire un coucou.
Nous continuons dans les Galeria Vitorio Emanuel II où luxe et prix faramineux sont de rigueur.
Nous allons à pied jusqu’au Castello Sforzesco avec ses jardins verdoyants et reposants après le petit bain de foule du centre ville.
Guillaume : « Dis, j’avais repéré un circuit de graff’ vers le cimetière ». Banco on y va. Comme des bons touristes, on monte sur une trottinette rose « Voi » et en avant. On file au travers du quartier d’affaire Piazza Gae Aulenti (Unicef nous tient la jambe… en français en plus) et arrivons sur notre parcours graffitis, moyen concluant finalement.
Notre journée à Milano se termine : il est 14h30, on meurt de faim et on en a plein les pattes.
Après un petit détour dans un magasin de bricolage pour acheter de quoi terminer le réparation du coffre embouti, nous partons vers Pecco pour un spot dodo calme en bord du Lago di Annone.
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