Ciao Pino!

Nos esprits se réveillent tardivement pour un bon 9h du matin : pas de stress, nous partons à l’heure qu’on veut, quand on est prêt. Du coup, on s’essaie à la douche du camping. 1€ les 5mn en continu : on décide d’entrer à deux comme ça quand l’un de mouille l’autre se savonne. Bon, le système n’est pas de toute première fraîcheur et je vois les fesses de Guillaume se tortiller de froid et s’activer à l’extérieur pour remettre une pièce pour l’eau chaude. 4€ les 10mn, c’est cher payé quand même. Heureusement, notre hôte nous remboursera le surplus. Merci bien. Après une discussion avec une sympathique famille bretonne arrivée sur le camping et qu’on recroisera peut-être sur la fin du trajet vu qu’on va dans la même direction, 11h sonne quand nous quittons cette dense mais très chouette capitale. Ciao Pino !

On se pose en bord de lac Di Canterno dans le début de l’après-midi et c’est une journée off, comme de bien entendu, qui nous attend pour se remettre à jour des devoirs conséquents, sous un ciel menaçant « mais qui ne châtie pas encore », selon Guillaume.

Nos esprits sont souvent happés par les nuées d’oiseaux qui vont et qui viennent dans les champs autour ; il y a un an, on observait déjà le même phénomène en Grèce, et c’est toujours aussi magique.

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